Preview Pawnbroker Simulator, comme un petit air de Pawn Stars

Salut à tous, et bienvenue dans cette preview Pawnbroker Simulator !

Il y a quelques années, je regardais (beaucoup trop) l’émission Pawn Stars. Mais si, vous savez, cette émission diffusée sur C8 qui mettait en scène une entreprise familiale spécialisée dans l’achat-revente d’objets en tout genre, à Las Vegas. Bon, c’était très américain dans l’âme, probablement un peu truqué et surjoué, mais j’adorais le concept.

Ce que j’aimais, c’était justement ce principe : découvrir des objets insolites, les estimer au mieux, négocier serré, et maximiser les bénéfices à la revente. Et ça tombe bien : c’est exactement ce que promet Pawnbroker Simulator. J’ai pu mettre la main sur une courte démo d’environ 45 minutes. Voici ce que j’en ai pensé.

Preview Pawnbroker Simulator : L’art de l’estimation et de la négociation

Le jeu démarre simplement. On place notre comptoir, celui où l’on va interagir avec les clients et examiner les objets qu’ils nous apportent. Dans son approche, Pawnbroker Simulator rappelle pas mal d’autres jeux du genre comme PC Building Simulator, Gas Station Simulator, ou encore Car Mechanic Simulator. On gère la boutique, les finances, les ventes, en vue à la première personne.

Le système de négociation est simple mais oblige à rester stratégique.

Premier client. Premier objet. C’est parti.
On commence par inspecter l’objet : état général, marque, modèle, etc. Une fois le tout scanné avec l’appareil photo de notre téléphone, on obtient une estimation de sa valeur. Reste ensuite à négocier avec le vendeur.

C’est là que le cœur du gameplay se dévoile. Le système de négociation est simple, mais efficace, avec une jauge de mécontentement qui oblige à rester stratégique. Acheter au meilleur prix, revendre au meilleur moment. Une fois l’objet acquis, on peut le mettre en vitrine, dans une bibliothèque, ou ailleurs selon la mise en scène qu’on souhaite.

Un aperçu prometteur, mais limité

La démo reste assez courte et ne montre pas l’ensemble des mécaniques du jeu. Certaines fonctionnalités étaient verrouillées, comme la réserve, la boutique avancée, ou encore les compétences à débloquer. Mais on devine un potentiel intéressant.

Par exemple, la possibilité de faire appel à des experts pour authentifier certains objets (contre quelques dollars), façon Pawn Stars, est bien là.

Dans cette démo, on devine un potentiel intéressant.

Un autre système intrigant : les licences à obtenir, en réussissant des objectifs précis. Dans la démo, on devait faire 12 ventes entre minuit et 6h et atteindre 1000$ en un jour pour débloquer la première. Ces licences apportent des bonus, mais aussi le plaisir de l’afficher dans sa boutique.

À noter : le jeu n’est pas encore sous-titré en français, mais reste intuitif. Les devs ont confirmé que la version finale sera bien localisée.

Direction artistique et ambiance générale

Visuellement, on est en terrain connu. Comme beaucoup de “simulator”, Pawnbroker Simulator ne brille pas par sa technique. Les PNJ sont un peu raides, certains objets font sourire par leur modélisation, mais ça colle à l’ambiance un peu décalée du titre. On ne vient pas ici pour la claque visuelle, mais pour le fun de la gestion et de la négociation.

Preview Pawnbroker Simulator : Fiche d’identité du jeu

Mon avis : Potentiel pour devenir un jeu satisfaisant et tueur de temps

Conclusion preview Pawnbroker Simulator

Difficile de se forger un avis tranché en seulement 45 minutes de jeu. Mais j’ai pris du plaisir à analyser les objets, négocier les prix, et commencer à bâtir mon petit empire de l’occasion. Je reste tout de même prudent : il faudra voir si la boucle de gameplay arrive à rester intéressante sur le long terme. En attendant, j’ai ajouté Pawnbroker Simulator à ma liste de souhaits Steam, en croisant les doigts pour que les développeurs aillent au bout de leur idée. En tout cas, cette démo m’a bien donné envie de regarder de nouveau Pawn Stars…