Le mini-avis de Noopinho : Away Journey To The Unexpected
Hello les amis !
On se retrouve aujourd’hui pour un nouveau mini-avis avec un jeu mignon tout plein : Away Journey To The Unexpected.
Le titre est développé par le studio Playdius (aujourd’hui devenu Dear Villagers) et propose des mécaniques de roguelite avec un univers très coloré.
Au premier abord, le titre intrigue beaucoup par son aspect et ses mécaniques, mais est-il à la hauteur sur la durée ? C’est ce que nous allons découvrir ! 🙂
Le titre est développé par le studio Playdius (aujourd’hui devenu Dear Villagers) et propose des mécaniques de roguelite avec un univers très coloré.
Au premier abord, le titre intrigue beaucoup par son aspect et ses mécaniques, mais est-il à la hauteur sur la durée ? C’est ce que nous allons découvrir ! 🙂
Le garçon, le bâton et les leviers
Dans Away, nous incarnons un jeune garçon réveillé par d’étranges bruits au sous-sol de sa maison. Il va découvrir avec stupeur un trou béant dans sa cave, menant à plusieurs mondes.
En tout, il y a 4 mondes à parcourir dans Away, tous très différents bien qu’assez classiques, avec des décors comme le désert ou encore la plage. Le titre se déroule à la première personne, mais nous ne savons pas trop ce que nous devons faire au départ.
Vous allez le comprendre au fur et à mesure de votre aventure et de vos premières morts. En effet, qui dit roguelite dit morts à répétition. Mais celles-ci ne sont pas punitives, bien au contraire. Chaque fois que votre personnage trépasse, il gagne de l’expérience et peut ainsi s’améliorer avec une nouvelle compétence ou une barre de vie en plus.
La mort faisant partie intégrante du gameplay, vous serez amené à comprendre par vous-même les mécaniques de l’aventure, mais également son histoire. Je ne vais d’ailleurs pas laisser trop de suspense sur ce point, l’histoire est totalement loufoque, mais au final très peu intéressante. Je noterais tout de même des personnages hauts en couleur et des dialogues plutôt drôles, comme ce squelette qui se prend pour une mouette.
J’ai dit dialogues ? Ils font partie des mécaniques de jeu également. Dans chacun de ces 4 mondes, vous pourrez rencontrer de potentiels compagnons. Pour qu’ils vous accompagnent et vous aident dans votre quête, il faudra choisir les bonnes lignes de dialogue qui ne seront, en général, pas les plus logiques mais les plus drôles.
Ces compagnons seront tous nécessaires pour la suite de vos aventures qui sont au final assez répétitives, malgré des donjons générés aléatoirement.
Dans chaque monde se trouve 3 leviers à actionner, que vous trouverez en parcourant différents donjons. Une fois fait, vous aurez accès au donjon final du niveau avec un boss à affronter à la fin de celui-ci. Après avoir vaincu le boss, vous pourrez passer au monde suivant.
Le gameplay du titre est au final correct, avec un rapport à la mort plutôt positif, et qui vous apportera des bonus et une envie de recommencer. Toutefois, celui-ci est bien trop simple et se résume à marteler une touche pour battre vos ennemis. L’ensemble est à mon goût un peu trop répétitif.
En tout, il y a 4 mondes à parcourir dans Away, tous très différents bien qu’assez classiques, avec des décors comme le désert ou encore la plage. Le titre se déroule à la première personne, mais nous ne savons pas trop ce que nous devons faire au départ.
Vous allez le comprendre au fur et à mesure de votre aventure et de vos premières morts. En effet, qui dit roguelite dit morts à répétition. Mais celles-ci ne sont pas punitives, bien au contraire. Chaque fois que votre personnage trépasse, il gagne de l’expérience et peut ainsi s’améliorer avec une nouvelle compétence ou une barre de vie en plus.
La mort faisant partie intégrante du gameplay, vous serez amené à comprendre par vous-même les mécaniques de l’aventure, mais également son histoire. Je ne vais d’ailleurs pas laisser trop de suspense sur ce point, l’histoire est totalement loufoque, mais au final très peu intéressante. Je noterais tout de même des personnages hauts en couleur et des dialogues plutôt drôles, comme ce squelette qui se prend pour une mouette.
J’ai dit dialogues ? Ils font partie des mécaniques de jeu également. Dans chacun de ces 4 mondes, vous pourrez rencontrer de potentiels compagnons. Pour qu’ils vous accompagnent et vous aident dans votre quête, il faudra choisir les bonnes lignes de dialogue qui ne seront, en général, pas les plus logiques mais les plus drôles.
Ces compagnons seront tous nécessaires pour la suite de vos aventures qui sont au final assez répétitives, malgré des donjons générés aléatoirement.
Dans chaque monde se trouve 3 leviers à actionner, que vous trouverez en parcourant différents donjons. Une fois fait, vous aurez accès au donjon final du niveau avec un boss à affronter à la fin de celui-ci. Après avoir vaincu le boss, vous pourrez passer au monde suivant.
Le gameplay du titre est au final correct, avec un rapport à la mort plutôt positif, et qui vous apportera des bonus et une envie de recommencer. Toutefois, celui-ci est bien trop simple et se résume à marteler une touche pour battre vos ennemis. L’ensemble est à mon goût un peu trop répétitif.
Vous reprendrez bien un peu de mignonnerie ?
Un mot sur la durée de vie du titre à présent. Malgré son tarif plus que raisonnable (16,99€), le jeu souffre d’une aventure un peu trop courte. Il m’aura fallu seulement 4h pour voir l’écran titre (en prenant mon temps). C’est au final bien trop peu pour un jeu du genre.
Côté technique, le titre est vraiment très réussi ! J’ai tout de suite été charmé par son côté cartoon très sympathique. De plus, chaque personnage rencontré a un look très singulier, et une personnalité forte qui se dégage.
Malgré toutes ses bonnes qualités visuelles, le titre n’est pas non plus un étalon graphique avec une direction artistique assez simpliste. Mais c’est au final très efficace car le jeu rend très bien.
D’un point de vue audio, rien de particulier à ajouter, c’est correct mais aucun thème musical n’est fabuleux pour autant.
Côté technique, le titre est vraiment très réussi ! J’ai tout de suite été charmé par son côté cartoon très sympathique. De plus, chaque personnage rencontré a un look très singulier, et une personnalité forte qui se dégage.
Malgré toutes ses bonnes qualités visuelles, le titre n’est pas non plus un étalon graphique avec une direction artistique assez simpliste. Mais c’est au final très efficace car le jeu rend très bien.
D’un point de vue audio, rien de particulier à ajouter, c’est correct mais aucun thème musical n’est fabuleux pour autant.
Fiche d’identité du jeu
Edité par | Playdius Entertainment | Public | +12 |
Développé par | Playdius Entertainment | Fourni par l’éditeur | Oui |
Date de sortie | 13 février 2019 | Testé sur | PC |
Plateformes | PC, PS4, Xbox One | Temps de jeu | 4h |
Les points positifs | Les points négatifs |
• Ambiance colorée | • Un peu répétitif |
• Prise en main facile | • Pas de système d’équipement |
• Mort non punitive qui donne envie de continuer | • Scénario inexistant |
• Humour décalé | • Durée de vie famélique |
• Parfait pour s’initier au roguelite |
Note finale : 12/20
Durée de vie : 2/5 – Dir Artistique+graphisme+ambiance sonore : 4/5 – Gameplay : 3,5/5 – Scénario : 2,5/5
Away Journey To The Unexpected est peut-être le jeu idéal pour découvrir le genre du roguelite. La mécanique de la mort non punitive qui améliore votre personnage est bien présente et vous donne même envie de continuer l’aventure. Mais le tout est gâché par une durée de vie bien trop faible, et un concept au final assez redondant.
L’univers décalé et coloré de Away peut quand même valoir le détour, mais je ne peux que vous conseiller d’attendre une petite promotion avant de tester le titre (à moins que vous soyez vraiment amoureux du genre, ou que vous vouliez tout simplement commencer les roguelite en douceur).
L’univers décalé et coloré de Away peut quand même valoir le détour, mais je ne peux que vous conseiller d’attendre une petite promotion avant de tester le titre (à moins que vous soyez vraiment amoureux du genre, ou que vous vouliez tout simplement commencer les roguelite en douceur).
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