L’avis rétro de Pix : The Legend Of Zelda Link’s Awakening
Bonjour à tous !
Pour mon premier test, je tenais à vous parler d’un jeu qui a particulièrement marqué ma vie de gamer, et celle de nombreux joueurs. Je parle bien sûr de The Legend of Zelda : Link’s Awakening, un jeu d’action-aventure sorti en décembre 1993 sur Gameboy, et décembre 1998 sur Gameboy Color dans sa version DX.
Il s’agit ici du premier opus sorti sur portable (4ème de la série), mais également de mon premier jeu vidéo…
Allez, c’est parti pour un retour en enfance rempli de nostalgie ! 🙂
Il s’agit ici du premier opus sorti sur portable (4ème de la série), mais également de mon premier jeu vidéo…
Allez, c’est parti pour un retour en enfance rempli de nostalgie ! 🙂
L’intro du jeu nous met dans la peau de Link qui, rentrant au royaume d’Hyrule en bateau, se fait surprendre par une tempête qui le fait s’échouer sur l’île Cocolint. Ile d’où l’on ne peut s’échapper qu’à moins de réveiller le gardien de l’île appelé Poisson Rêve. Mais pour en arriver là, il devra récupérer les 8 instruments cachés dans les donjons, qui lui permettront de réveiller le poisson rêve de son profond sommeil au sommet du Mont Tamaranch.
Le scénario vous paraîtra certes classique aujourd’hui, mais sachez qu’en 1993, il était considéré comme révolutionnaire pour le support Gameboy.
Au cours de l’aventure, vous allez faire la rencontre de nombreux PNJ pendant votre quête, comme celles de Marine, Tarkin, pépé le ramollo, le hibou mystérieux, et bien d’autres… Certains de ces PNJ vous guideront dans votre quête, tandis que d’autres vous proposeront des quêtes secondaires en collectant certains objets ou en jouant à des mini-jeux.
Bien entendu, que serait un Zelda sans le traditionnel bestiaire qui est ici fidèle à la série. Il faut savoir qu’à la base, le jeu ne se situait pas dans la chronologie Zelda, mais au fur et à mesure des épisodes, le jeu a su trouver sa place entre Oracle of ages / Seasons et The Legend of Zelda premier du nom.
Le scénario vous paraîtra certes classique aujourd’hui, mais sachez qu’en 1993, il était considéré comme révolutionnaire pour le support Gameboy.
Au cours de l’aventure, vous allez faire la rencontre de nombreux PNJ pendant votre quête, comme celles de Marine, Tarkin, pépé le ramollo, le hibou mystérieux, et bien d’autres… Certains de ces PNJ vous guideront dans votre quête, tandis que d’autres vous proposeront des quêtes secondaires en collectant certains objets ou en jouant à des mini-jeux.
Bien entendu, que serait un Zelda sans le traditionnel bestiaire qui est ici fidèle à la série. Il faut savoir qu’à la base, le jeu ne se situait pas dans la chronologie Zelda, mais au fur et à mesure des épisodes, le jeu a su trouver sa place entre Oracle of ages / Seasons et The Legend of Zelda premier du nom.
Venons-en au gameplay, l’un des points les plus importants du jeu, et on peut dire que le jeu se veut être un modèle du genre sur Gameboy. Link’s Awakening reprend les mécaniques de jeu instaurées dans The Legend of Zelda A Link to the Past sorti en 1991 sur SNES, et se permet même d’apporter des éléments inédits tout en s’adaptant merveilleusement bien à la Gameboy.
Zelda oblige, nous retrouvons les traditionnelles phases d’exploration sur l’île qui, d’ailleurs, se veut immense pour le support. Les déplacements sont précis, fluides, et la prise en main se fait immédiatement. Certaines zones vous demanderont de revenir plus tard avec certains objets que vous récupèrerez dans les donjons remplis d’énigmes et de boss (qui vous rendront la tâche un peu ardue, voire même beaucoup par moment).
Les combats sont dynamiques bien que confus par moment, et les différents ennemis que vous rencontrerez possèdent leurs propres points faibles. Cela vous demandera d’adapter votre équipement variant entre bombes, arc, grappin et bien d’autres… Mais la grosse nouveauté de cet épisode, c’est bien entendu la plume qui permet à Link, pour la première fois, de sauter. Cela vous sera utile, notamment lors de certaines phases de plateformes qui nous évoquent un certain Mario Bros (le jeu comporte d’ailleurs quelques clins d’oeil au fameux plombier, mais également aux autres aventures de Link).
Zelda oblige, nous retrouvons les traditionnelles phases d’exploration sur l’île qui, d’ailleurs, se veut immense pour le support. Les déplacements sont précis, fluides, et la prise en main se fait immédiatement. Certaines zones vous demanderont de revenir plus tard avec certains objets que vous récupèrerez dans les donjons remplis d’énigmes et de boss (qui vous rendront la tâche un peu ardue, voire même beaucoup par moment).
Les combats sont dynamiques bien que confus par moment, et les différents ennemis que vous rencontrerez possèdent leurs propres points faibles. Cela vous demandera d’adapter votre équipement variant entre bombes, arc, grappin et bien d’autres… Mais la grosse nouveauté de cet épisode, c’est bien entendu la plume qui permet à Link, pour la première fois, de sauter. Cela vous sera utile, notamment lors de certaines phases de plateformes qui nous évoquent un certain Mario Bros (le jeu comporte d’ailleurs quelques clins d’oeil au fameux plombier, mais également aux autres aventures de Link).
Attention, ne vous attendez pas à venir à bout du jeu rapidement ! En effet, en plus de la quête principale, le jeu regorge de quêtes annexes et objets à collecter. Un exploit en terme de contenu par rapport aux capacités de la Gameboy qui nous offre ici une aventure digne de ce qu’on peut trouver sur consoles de salon.
Visuellement, Zelda Link’s Awakening s’inspire de son aîné Zelda A Link to the Past et nous propose une DA magnifique, fidèle à la série. Malgré l’écran monochrome de la Gameboy, le jeu reste lisible et fluide, notamment lors des scrollings. Il nous propose une technique efficace, avec des environnements variés et grouillants de détails, et qui, malgré le manque de couleurs, arrivent quand même à nous plonger dans l’univers enchanteur de la série.
Bien sûr, le tout est accompagné par des bruitages efficaces et une OST somptueuse, reprenant aussi bien les thèmes des anciens épisodes que des nouveaux (composés par Minako Hamano (Metroid) et Kozue Ishikawa). Qui ne se rappelle pas du sublime thème « la Ballade du Poisson Rêve » qui démontre clairement les capacités de la Gameboy…
Visuellement, Zelda Link’s Awakening s’inspire de son aîné Zelda A Link to the Past et nous propose une DA magnifique, fidèle à la série. Malgré l’écran monochrome de la Gameboy, le jeu reste lisible et fluide, notamment lors des scrollings. Il nous propose une technique efficace, avec des environnements variés et grouillants de détails, et qui, malgré le manque de couleurs, arrivent quand même à nous plonger dans l’univers enchanteur de la série.
Bien sûr, le tout est accompagné par des bruitages efficaces et une OST somptueuse, reprenant aussi bien les thèmes des anciens épisodes que des nouveaux (composés par Minako Hamano (Metroid) et Kozue Ishikawa). Qui ne se rappelle pas du sublime thème « la Ballade du Poisson Rêve » qui démontre clairement les capacités de la Gameboy…
LES POINTS POSITIFS
– OST envoûtante
– Durée de vie exemplaire
– Une grande aventure Zelda en format portable
– DA et réalisation efficaces
– Contenu impressionant
LES POINTS NÉGATIFS
– Actions quelques fois confuses
– Difficulté parfois trop élevée
Note finale : 18/20
Durée de vie : 5/5 – Dir Artistique+graphisme+ambiance sonore : 4,5/5 – Gameplay : 4,5/5 – Scénario : 4/5
Zelda Link’s Awakening reste encore aujourd’hui dans le cœur de nombreux joueurs, dont le mien, l’un des meilleurs jeux de la licence sur console portable. Les équipes de développement nous proposent ici un jeu qui exploite clairement les capacités de la Gameboy. C’est grâce à des titres comme ce Zelda que la console a su se démarquer de ses rivales, pourtant bien en avance en terme d’avancée technique. A la fois beau, envoûtant et proposant une durée de vie impressionnante et un rythme qui ne s’essouffle en aucun point, le jeu nous propose un gameplay simple et accessible, qui nous plonge directement dans l’action. Et si vous êtes réfractaire à l’écran monochrome, n’hésitez pas à vous lancer sur la version DX qui, en plus de la couleur, propose un donjon inédit.
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